Quand j’ai commencé ma transition, je n’imaginais pas toutes les découvertes et les expérimentations que j’allais faire en m’impliquant dans l’écologie à travers toutes ses facettes.
Une de mes premières motivations a été de réduire mon empreinte écologique. Je l’ai donc mesurée pour cibler les actions qui me permettaient de limiter mon impact.
Je me suis engagée dans le zéro déchet, j’ai découvert le minimalisme, je suis devenue flexitarienne, je me suis mise au vélo et j’ai peu à peu appris à consommer autrement.
Au fil de mon évolution écologique j’ai rapidement compris que l’écologie était bien plus que des petits gestes. Il s’agissait pour moi de pouvoir aligner mes convictions et mes actions pour trouver du sens en respectant 2 grandes valeurs fondamentales à mes yeux et qui définissent pour moi la notion d’écologie : respecter et prendre soin.
Nous sommes partie intégrante de la Nature, de ce « tout » qui constitue l’écosystème de cette planète ; prendre soin de la Nature, c’est également prendre soin de soi et des autres.
Mais cet alignement n’est possible que si on a appris à se connaître. Si on sait sur quelles forces s’appuyer, si on connaît les valeurs qui nous portent et nous motivent, si on s’aime suffisamment pour avancer avec bienveillance dans le respect de soi.
Il s’agit donc de prendre en compte sa propre “écologie : c’est ce que j’appelle l’écologie intérieure – ou écologie personnelle.
Pour moi, l'écologie intérieure c'est cette vision holistique du bien-être que l'Ayurveda m’a inspirée ; c'est un alignement corps/cœur/esprit harmonieux et authentique guidé par le cœur.
Laissez moi vous partager 3 clés indispensables à mes yeux pour cultiver son écologie intérieure :
Mon évolution écologique a été précédée d’une longue période de développement personnel. Une période qui initialement me semblait déconnectée de cette transition écologique mais qui au final s’est avérée cruciale.
Pourquoi ?
Parceque lorsque l’on apprend à se connaître :
Une fois que l’on se connait bien, il est plus facile de savoir se respecter soi-même et de se faire respecter par les autres.
C’est essentiel pour avancer sereinement dans un projet quel qu’il soit afin de ne pas agir sous la contrainte, en force, ou pour « faire plaisir »….sans quoi notre corps se rappellera à nous d’une manière ou d’une autre (souvent après que nous ayons refoulé nos émotions au plus profond de nous) pour nous informer que nous prenons la mauvaise direction. Et là c’est en général qu’on a bien dépassé la « ligne rouge » !
A ce stade il s’agit donc de :
Ce point vient en troisième position mais en réalité c’est un peu le « fil rouge » de l’écologie intérieure.
Prendre soin de soi c’est pouvoir « se » choisir. Faire de notre être une priorité. Donner à notre corps toute la valeur qu’il mérite.
Il y a plein de manières de prendre soin de soi, mais la première est déjà de nous libérer du temps rien que pour nous en limitant son agenda à l’essentiel.
Prendre soin de soi c’est aussi :
Je dirais pour finir que l’écologie intérieure c’est également pouvoir s’investir dans ce qui est juste pour soi, dans des projets qui nous animent.
C’est oser écouter notre cœur pour faire vibrer nos talents, c’est continuer à apprendre et à s’enrichir pour mieux transmettre et inspirer autour de nous.
Etais-tu familière de cette notion d'écologie intérieure ?
Est-ce que ça te parle ?
Comment prends-tu soin de toi ?
Qu'as-tu envie de retenir de cet article ?
Hâte de te lire !