Anaïs accueille Hélène, maman solo de deux adolescents qui a décidé de consommer une alimentation plus locale notamment en rejoignant une AMAP. Dans cet épisode, elle nous raconte comment elle a dépassé ses freins que vous partagez peut-être comme "manger des radis noirs toutes les semaines ? Non merci". Et puis elle nous partage les bénéfices qu'elle en retire et qu'elle n'aurait pas imaginés au départ !
Chiffres clés :
¼ des émissions de gaz à effet de serre en France proviennent de nos assiettes ; c’est autant que le transport ou le logement !
En tête arrive la production des aliments. Les modes de production ont parfois de lourdes conséquences sur l’environnement : utilisation d’engrais et pesticides, dégradation des sols et des réserves en eau (et donc de notre santé), forte consommation d’énergie… Et les étapes suivantes ne sont pas en reste. La transformation des aliments consomme aussi beaucoup d’eau. Le transport essentiellement routier des denrées pollue l’air et émet des gaz à effet de serre, sans compter l’impact des importations par avion. Et puis il faut ensuite stocker et conserver tous ces produits. Dans les grandes surfaces alimentaires, la réfrigération représente à elle seule 40 % des consommations d’énergie.
Source : ademe.
Les circuits courts portent bien leur nom, ils "court-circuitent" une grosse partie des impacts négatifs cités ci-dessus 😉
Une infographie pour mieux comprendre l’impact de notre alimentation en image : https://presse.ademe.fr/wp-content/uploads/2019/02/HAVAS_ADEME_infographie_SIA_vdef-1.pdf